Un peu d’histoire:
Traditionnellement le wigwam était la demeure des Indiens semi-nomades de la forêt nord-américaine (dont les tribus Micmacs et Algonquins).
Il était alors réalisé en peaux ou en chaume sur une structure de branchages.
Une ouverture centrale, comme dans les célèbres tipis, permettait l’évacuation des fumées et donc de faire le feu à l’intérieur.
De nos jours:
Je réalise les wigwams en toile coton-polyester (550 g/m2 3i M2 ou 320g/m2 en version « light »)
Le coton permet la respirabilité de l’habitat diminuant l’effet de condensation. Cependant la toile demeure parfaitement étanche.
Les parois déclinées en feuilles (8 ou 10) sont quasi verticales et le toit forme un dome.
Le bas de la toile est protégé par une bavette PVC de 25cm de haut pour faciliter le nettoyage.
Cette conception obtenue par un dessin spécifique des feuilles (laizes verticales) donne un espace utile étonnamment vaste.
Structure:
Réalisée sur ossature souple, la structure est auto-portée: principe de la clef de voûte constitué par le « tonoo » central.
Sur ce tonoo s’implantent les arceaux en fibre de verre. La base des arceaux est maintenue à la toile par des tenseurs à boucle rapide.
Les variantes:
-
Ouverture centrale: L’été, elle permet à la chaleur de sortir en créant une aération haute. La nuit venue, les étoiles vous regardent… Un volet de toile couvre cette ouverture en cas de pluie. Toutefois, le wigwam peut se décliner sans cette ouverture et alors sans tonoo (une simple clef permet la jonction des arceaux): économie de poids et de coût, passage d’air réduit.
-
Tailles disponibles: Diamètre 3m = 7m2 /diamètre 4m= 12,5 m2 / diamètre 5m = 19,6 m2 .
-
Une forme oblongue (« tunnel ») est également possible.
-
Options : plancher, fond pvc amovible, toile ignifugée, double parois (isolation), cloison bois ou textile, hublots (avec volet), conduite d’évacuation de poêle.